Je dirais que je suis assez transparente au sujet de mon emploi et de ma vision du travail.
Ceci étant dit, c’est immanquable : quand je dis que je suis blogueuse professionnelle, les gens me demandent comment je gagne ma vie.
Ça me fait rire, parce que les questions qu’on me pose tous les jours ne sont jamais posées à propos d’autres métiers.
C’est quand la dernière fois que tu as demandé à ta médecin de famille son salaire annuel? Ou à ta serveuse au resto? Les questions que je reçois sont souvent tellement personnelles que j’ai de la difficulté à croire que les gens ne se sentent pas un peu mal de les poser!
Mais bon. J’ai décidé d’écrire un billet complet sur comment je réussis à gagner ma vie comme blogueuse. Fini les interrogations 😉
Comment faire de l’argent comme blogueuse
Je me suis longtemps décrite comme une travailleuse autonome et entrepreneure accidentelle.
Je n’ai jamais vraiment eu l’intention de lancer une entreprise, mais une série de circonstances m’y ont menée et j’en suis bien contente. Cependant, avant 2020, je gardais quelques contrats comme travailleuse autonome afin de manger trois repas par jour, mais aussi, parce que j’avais aussi du plaisir à effectuer certaines tâches.
La pandémie a affecté plusieurs personnes et j’en fais partie. Plusieurs clients ont dû me laisser partir et j’en ai profité pour réévaluer ma relation avec ceux restants pour finalement décider de me lancer dans l’aventure du blogging à 100%.
Ça faisait déjà plusieurs années que mon blogue demandait facilement 70% de mon temps, mais mes revenus associés ne suivaient pas toujours. 2020 m’a offert l’opportunité de voir si je pouvais gagner ma vie à 100% avec ce projet. Et ça a l’air que j’ai réussi.
En 2021, mes revenus ont été divisés comme suit :
- Publicité : 53%
- Boutique (incluant l’abonnement et L’année qui compte) : 13%
- Livre Ça coûte cher, être un adulte! : 13%
- Contenu commandité : 12%
- Conférences : 2%
- Affiliation : 1%
Avec un 5% d’autres activités professionnelles, comme ma dernière année de festivals.
Psst! J’ai eu accès à ces données en une demi-seconde grâce à mon aide-mémoire pour travailleuses autonomes.
Bref, même si mon site web existe techniquement depuis 2011, que je bloguais même avant, que mon projet est devenu un de mes gagne-pains en 2013 et que j’ai décidé de m’y mettre sérieusement en 2017, ce n’est qu’en 2020 que c’est devenu ma seule source de revenus.
Une des raisons est qu’honnêtement, je n’avais pas vraiment de plan et je me suis laissée bercée par les occasions au moment où elles arrivaient. J’ai aussi changé d’objectifs 1001 fois.
Ceci étant dit, la monétisation n’arrive pas magiquement, et arrive avec de nombreuses contraintes et règles à suivre. Oui, tu peux lancer un blogue dans le but d’en vivre, mais, comme pour toute entreprise, tu dois avoir un plan.
Le coût du blogging
Un truc dont on ne parle pas assez est le coût du métier de blogueuse.
Parce que oui, comme tout travail autonome ou entreprise, il y a des coûts associés!
Perso, je travaille seule, je m’occupe donc de tout tout tout TOUT qui a lien avec mon site, de la rédaction à la prise de photos à la gestion de médias sociaux, la stratégie, etc.
Tout l’argent que je gagne va donc dans mes poches… sauf les quelques plusieurs milliers de dollars que me coûtent l’entretien de mon site web et mes autres dépenses professionnelles.
Parmi les coûts que je dois assumer tous les ans, il y a :
- Hébergement de mes sites web
- Hébergement de ma boutique en ligne + frais de transaction
- Noms de domaine de mes sites web
- Boite courriel (Google Workspace)
- Extensions (Wishlist Member*, Placeit*, Klaviyo, ConvertPro, Grow, Content Views Pro, AdInserter Pro, WP Rocket, Smush, etc.)
- Logiciels (Adobe Creative Cloud, Microsoft 365, StreamYard, Antidote, etc.)
- Pros qui font les mises à jour techniques des thèmes et extensions
- Aide occasionnelle pour des bogues ou du coding
- Magiciennes qui ajoutent les formules aux fichiers Excel de ma boutique
- Matériels (ordinateur, appareil photo, imprimante, réparations, encre, papier, enveloppes, etc.)
- Frais de déplacement (conférences, essayer des activités dans le but d’en parler sur le blogue, etc.)
Je vais dire ça simplement : mes dépenses professionnelles ont atteint le cinq chiffres l’an dernier.
Tout ceci étant dit, voici concrètement comment je gagne mon salaire de blogueuse!
Publicité de type « display »
Une grande raison pour laquelle j’ai décidé d’écrire ce billet était pour jaser de la publicité sur mon blogue.
Le site web de La Presse est pratiquement inutilisable lorsque tu cliques sur un lien, les pubs arrivant par en haut et par en bas. Que dire d’HollywoodPQ, mon plaisir coupable, mais un site qui, soyons honnêtes, allonge ses articles inutilement juste pour diffuser plus de pub.
Mais je m’égare.
Oui, il y a de la publicité sur mon blogue. Bien oui, ce serait le fun, s’il n’y en avait pas ou s’il y en avait moins. Mais la publicité est, comme démontré plus haut, ma plus grande source de revenus et pas mal la raison pour laquelle je peux me permettre de bloguer à temps plein.
Pas de pub, pas de blogue, c’est aussi simple que ça.
Et tu sais quoi? En tant que créatrice de contenu, j’aime la publicité de type « display » beaucoup plus que les autres formes de publicité, comme le contenu commandité.
La raison est simple : j’ai choisi d’être blogueuse et non rédactrice pour un magazine ou un autre site web entre autres pour utiliser ma voix, pour écrire dans un style qui me plait, pour choisir mes sujets. Et la publicité me permet de faire exactement ça.
Grâce à la publicité, je peux écrire ce que je veux, sur les sujets que je veux, dans le style que je veux et tant que des gens lisent mon contenu, je gagnerai de l’argent. Mon but est donc de m’assurer de créer le meilleur contenu possible. N’est-ce pas fabuleux?
Depuis quelques années maintenant, je fais affaire avec la régie de publicité américaine Mediavine. Et honnêtement, même si je gagnais 10 milliards demain à la loterie, je garderais sûrement quelques pubs sur mon site simplement pour continuer à faire affaire avec cette compagnie. C’est – de loin – l’entreprise avec laquelle j’ai le plus aimé collaborer de toute ma vie professionnelle.
Pour gagner de l’argent avec de la pub de type « display », il faut cependant un bon lectorat. À titre d’exemple, Mediavine requiert d’avoir 50 000 sessions mensuelles.
Avant, j’ai aussi utilisé Google Adsense, mais je ne gagnais pas plus de quelques dizaines de dollars par mois.
Boutique en ligne
En 2016, je me suis inscrite au SAJE, maintenant l’École des entrepreneurs du Québec, pour faire un AEC en lancement d’entreprise. Mon objectif était de créer une ligne de produits inspirés du blogue Eille la cheap!, faits au Québec et offerts à prix compétitifs.
Et finalement… j’ai changé le nom du site web et lancé une boutique de produits numériques.
Quand je dis que je me laisse porter par les projets..!
J’ai découvert bien vite que la création de produits physiques demandait beaucoup plus de gestion que ce que j’avais imaginé et que pour obtenir des prix décents, je devais commander des quantités astronomiques. Comment gérer cela sans espace de rangement et en continuant de voyager?
Lors de ma formation, quelqu’un avait suggéré que j’offre aussi certains de mes produits, comme ma liste d’épicerie hebdomadaire, en version numérique. Ma réponse? « Mais voyons, qui paierait pour un fichier numérique? »
Puisque ça ne coûtait rien d’essayer, j’ai ajouté quelques versions numériques lors du lancement de ma boutique et… j’ai été surprise de constater qu’elles étaient plus populaires que les versions physiques!
Je l’avais, mon filon.
La boutique physique n’aura donc duré que le temps d’une collection, mais m’aura permis d’apprendre énormément.
J’ai commencé à développer des produits numériques organiquement, par la suite. Le premier, mon outil de prévisions budgétaires (pour débutantes) est né quand j’ai partagé dans un billet de blogue avoir fait un premier budget quand je suis retournée à l’école, afin de m’assurer d’avoir assez d’argent en réduisant ma semaine de travail à 20h.
Quand mes lectrices m’ont demandé comment j’y étais arrivée malgré ma haine des chiffres, j’ai tenté de trouver un template Excel leur permettant de faire ce même exercice facilement (le mien était si laid!) et j’ai été surprise de détester toutes les options sur le marché, même les gratuites. Alors j’ai pimpé le mien et je l’ai mis en vente.
Il est devenu tellement populaire que j’ai pu engager quelqu’un pour ajouter des formules plus avancées.
Je propose maintenant huit outils Excel, un ebook, un kit d’outils pour blogueuses et une trousse de départ pour future pigiste sur la boutique.
Abonnements et formations
Peu de temps après avoir créé ma boutique en ligne, le site web Patreon est devenu très populaire aux États-Unis. Ce site web permet d’offrir des avantages aux gens qui supportent monétairement leurs créateurs de contenu préférés.
Même si ce site n’était pas très connu au Québec, j’ai décidé de me lancer. Sauf qu’au moment même où j’ai voulu le faire… il y a eu une immense fuite de données sur Patreon. Étant donné le manque de notoriété de ce site ici, je me suis dit que personne ne voudrait donner ses informations bancaires à un site qu’ils ne connaissent pas, quand tous les résultats Google récents parlent de vol de données.
Mais je n’étais pas prête à abandonner le projet.
Puisque j’utilisais déjà Shopify pour ma boutique en ligne, je me suis demandé si je pouvais créer un concept similaire, mais « à la mitaine ».
Et c’est ainsi que l’abonnement au blogue est né.
Au début, personne n’avait confiance en mon projet. Pourquoi quelqu’un paierait pour un site qui offre… du contenu gratuit?
Je crois que les gens qui s’abonnent le font d’abord en avant tout pour me donner un p’tit high five virtuel.
Mais plus l’offre de la boutique grandit, plus le 50% de rabais que j’offre devient attrayant. Et je pense que je commence à avoir une belle librairie de gratuités, allant d’une masterclass vidéo à un modèle de facture Excel à des listes d’activités à imprimer et bien plus.
Un projet que j’aimerais vraiment réaliser en 2022 (et qui est sur ma liste depuis… beaucoup trop longtemps) est d’offrir une expérience sans pub aux abonnées du blogue. Crois-moi, quand ce sera fait, je vais le crier sur tous les toits!
Quand j’ai vu que l’abonnement fonctionnait bien, je me suis demandé si je pouvais lancer d’autres projets similaires. C’est ainsi que j’ai développé L’année qui compte.
L’année qui compte est un programme en ligne que j’offre chaque début d’année depuis 2018. Plus de 300 personnes ont participé aux cinq premières éditions. La prochaine édition aura lieu en septembre 2023. Indique tes coordonnées ici pour être avisée du début de la période d’inscriptions ET participer au mini-cours 7 jours pour améliorer ta relation avec tes finances 100% gratuitement!
Ce programme, c’est un blogue++ pour celles qui veulent faire du ménage dans leurs finances. J’ai utilisé ma formation en journalisme pour vulgariser certains concepts complexes en lien avec les finances et les participantes peuvent compter sur des entrevues et des exercices pour les aider à assimiler leurs apprentissages, en plus d’avoir accès à l’agenda budgétaire annuel gratuitement.
Contenu commandité
Pour plusieurs blogueurs et créateurs de contenu, le contenu commandité est la source de revenus la plus importante. Moi, honnêtement, je ne tripe pas sur ça.
Premièrement, je fais la distinction entre publicité et contenu commandité :
- Contenu commandité : contenu créé en collaboration avec une marque ou entreprise qui, en l’échange de mentions publicitaires, accepte de financer sa création. Ce contenu diffère de la publicité, car il s’agit de contenu pouvant être utile pour le lecteur, et non une simple mention publicitaire. Exemple : Exemple : je m’associe à Maxi pour faire la promotion de leurs initiatives pour contrer le gaspillage alimentaire.
- Publicité : publication payée mettant de l’avant une marque ou entreprise, sans plus value pour le lecteur. Exemple : je fais la promotion d’un concours organisé par Aero sur Facebook.
Quand j’ai choisi de mettre de la publicité de type « display » sur mon site web, je savais que je ne voulais pas que mon blogue devienne un portail publicitaire. Et donc, pour toutes les raisons dont j’ai parlé plus haut, j’ai un peu mis de côté le contenu commandité.
Au même moment, Instagram est devenu plus important et j’ai toujours aimé m’amuser avec ce média social plutôt que d’en faire une source de revenus. Et donc, puisque je n’ai « que » 5000 abonnées, les offres ont commencé à se faire plus rares.
Aujourd’hui, je ne fais affaire qu’avec des compagnies, destinations et causes qui me tiennent à coeur en me posant la question « Est-ce que je publierais un contenu similaire si personne ne me payait? »
Je lis mes contrats avec attention, choisissant de refuser 50, si ce n’est pas 75% des mandats qui me sont offerts, car je suis en désaccord avec certaines clauses ou demandes. Si je collabore avec une marque, c’est que je crois réellement que ça va bénéficier mes lectrices.
Depuis le début 2020, je crois n’avoir fait que deux campagnes de contenu commandité.
Bien sûr, tout contenu publicitaire doit être identifié adéquatement!
Liens d’affiliation
Les liens d’affiliation sont des liens menant vers des sites web variés permettant de gagner un certain montant chaque fois que quelqu’un fait un achat suite à une recommandation que je fais.
C’est comme un vendeur qui fait une commission.
Un truc important à savoir, c’est que c’est bien rare que ça paie plus de quelques dollars à la fois. Donc, il faut un bon volume de clics et d’achats pour que ça devienne une source de revenus intéressante.
Sur ce blogue, j’utilise des liens d’affiliation vers Etsy* (via AWIN), booking.com*, Amazon*, Shopify*, Les Libraires*, tous les produits Envato*, Canadian Tire*, NameCheap*, Honey*, Bonjour Handmade*, Wishlist Member* et Simons*.
Certains liens d’affiliation utilisent des cookies (avec date d’expiration différente selon le fournisseur) permettant d’obtenir une commission si tu procèdes à un achat en cliquant un lien.
Les liens d’affiliation de Ebox (code PBB3), Tangerine (code 33840402S1), Flashfood (code BEATQX53), FoodHero (code beatriceb6) et PlanifRetraite (code BEATRICE) n’utilisent pas de cookies, mais plutôt, des codes à donner verbalement ou à indiquer (à ta libre discrétion).
Il est super important de divulguer tous les liens affiliés. Les réglementations en place à ce sujet au Canada sont encore plutôt floues. Elles sont beaucoup plus strictes aux États-Unis. Celles-ci disent que chaque billet incluant des liens d’affiliation doit être identifié et que la divulgation doit être faite avant le premier lien.
Puisque mon site web s’adresse uniquement à un public québécois, je ne suis pas tenue de suivre ces règlements, mais je m’en suis inspirée pour ajouter un * suite à chaque lien affilié et une description plus complète menant à ma politique de vie privée en bas de page.
Un truc qui m’agace des réglementations en place et que j’avoue ne pas respecter est que je devrais marquer les liens d’affiliation comme « publicité ». Cependant, si quelqu’un ne fait pas d’achat, je ne gagne pas d’argent (et même si quelqu’un fait un achat, il y a 1001 facteurs qui font que je pourrais ne pas être payée).
Bref, je trouve ce mot incorrect et trompeur. Oui, la compagnie doit souvent m’accepter comme affiliée, et celle-ci peut émettre quelques règles au sujet de la façon dont je peux parler d’eux (exemple : je ne peux pas utiliser les liens Amazon sur les médias sociaux), mais ils n’approuvent jamais le texte précis que j’écris, ce qui ne correspond pas à ma définition de la publicité.
Projets connexes
Ce qui est le fun d’un blogue, c’est que ça ouvre 1001 portes.
Dans mon cas, mon blogue m’aura permis de faire de la radio et de la télé, d’écrire deux livres, de faire le tour du Québec en visitant les Salons du livre, de faire des voyages de presses (souvent non payés, mais je les inclus ici quand même, car il s’agit d’une certaine forme de rémunération) et de faire plusieurs conférences.
En fait, c’est ça qui est fabuleux des blogues : il n’y a de limite que ton imagination quand vient le temps de décider comment tu gagneras ta vie avec ce projet.
J’ai plusieurs conférences de planifiées au cours des prochains mois et c’est quelque chose que j’aimerais faire encore plus souvent. J’aimerais aussi proposer ma conférence Ça coûte cher, être un adulte! dans les écoles secondaires.
L’écriture de mes livres a été un highlight des dernières années. J’aimerais beaucoup revivre l’expérience. Cependant, écrire un livre demande ÉNORMÉMENT de temps et la rémunération n’est pas immédiate (bien que j’aie reçu une avance me permettant de bloquer un certain temps dans mon calendrier, j’ai reçu la majorité de mon salaire lié à Ça coûte cher! un an après la PUBLICATION de celui-ci, comme le veut la norme), ce qui fait que je repousse sans cesse ce projet.
Cependant, j’ai une ou deux idées en tête et j’aimerais vraiment prendre le temps de les développer et voir si elles peuvent donner quelque chose!
Et la suite?
J’ai énormément de billets au sujet de ma vision du travail à venir au cours des prochaines semaines et mois.
Honnêtement, je ne peux tout simplement plus être assise seule devant un ordi 40h par semaine. J’ai des douleurs chroniques qui me coûtent une fortune en spécialistes, j’ai eu des problèmes de vision, mon corps réclame du mouvement et je dois lui donner.
Quand je prends le temps de marcher, j’écris souvent la moitié, si ce n’est pas le 3/4 de mes billets dans ma tête. Alors quand je m’assois enfin à l’ordinateur, le travail se fait tout seul.
Bref, au cours des prochains mois, je prévois faire beaucoup de travail en « arrière plan » pour me permettre de travailler différemment à long terme, générant autant de profits en étant moins souvent assise devant mon ordi.
Je finirai enfin de faire des vidéos pour présenter mes produits, qui me sauvent un temps fou de service à la clientèle. Je changerai de fournisseur d’infolettre pour pouvoir envoyer des courriels beaucoup plus ciblés, plus facilement.
Et j’aimerais peut-être lancer un nouvel outil Excel pour faire un budget pour la retraite. Et avancer ces idées de livres dont je viens de parler.
Bref, je ne chômerai pas!
Mon but restera toujours d’attirer plus de gens sur ce site grâce à du contenu de qualité. Car tant qu’il y a des gens qui le visitent, je peux continuer à gagner ma vie avec celui-ci.
Outils pour blogueuses offerts sur la boutique
Tu veux, toi aussi, lancer ton propre blogue dans le but d’en vivre?
J’offre quelques produits qui pourraient t’intéresser sur la boutique.
J’ai publié un ebook, Ce que j’aurais aimé savoir avant de lancer mon blogue (ou comment vous pouvez apprendre de mes erreurs), pour répondre aux interrogations de celles qui pensent à devenir blogueuses professionnelles.
J’offre aussi un kit d’outils pour blogueuses et un beau bundle de ces deux produits!
Si tu veux en savoir plus sur le blogging, j’ai regroupé tous mes billets à ce sujet (il y en a une tonne) juste ici!
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